Cités d’ailleurs : Ljubljana, ville verte grâce à sa gestion des déchets

Cités d’ailleurs : Ljubljana, ville verte grâce à sa gestion des déchets

Cités d’ailleurs : Ljubljana, ville verte grâce à sa gestion des déchets 957 638 Le Réseau des Aménageurs de la Méditerranée

Ljubljana a été élue capitale verte européenne en 2016 en se distinguant notamment sur sa politique de gestion des déchets. Mais la capitale Slovène montre aussi l’exemple en ce qui concerne le développement des mobilités durables et la végétalisation de son espace urbain.

Ville de 283 000 habitants, Ljubljana a reçu le prix de la capitale verte européenne en 2016. Une distinction accordée à la capitale Slovène en raison notamment de sa politique remarquée de gestion des déchets. Mais aussi en ce qui concerne le développement des mobilités durables et la place du végétal.

Pour rappel, le prix de la capitale verte européenne est décerné en fonction de douze critères : la contribution locale au changement climatique, les transports, les espaces verts, la biodiversité, la qualité de l’air, de l’environnement sonore, la gestion des déchets, la gestion de d’eau, le traitement des eaux usées, l’emploi durable, la performance énergétique et la gestion de l’environnement par les autorités locales.

L’une des raisons principales qui font de Ljubljana un exemple de ville verte, c’est la politique de gestion des déchets mise en place par la capitale Slovène. Elle se classe d’ailleurs au premier rang des capitales de l’UE en ce qui concerne les performances de tri à la source et de réduction des déchets.

Elle collecte séparément 60% de ses déchets municipaux et produit moins de 150kg de déchets résiduels (les déchets qui ne sont ni compostés, ni recyclés) par habitant et par an. L’engagement de la ville d’ici 2025 est d’atteindre les 78% de collecte séparée et de diminuer à 60 kg par an et par habitant la quantité de déchets résiduels. Ljubljana est d’ailleurs devenue la première capitale européenne à rejoindre le réseau Zero Waste.

Pour lire la suite de cet article de Guillaume Joly paru en avril 2019 dans « Les Horizons », c’est par ici