Il y a quelques jours, l’Ambassadeur Valero rappelait dans nos colonnes que « longtemps considérées comme l’alpha et l’oméga de l’innovation urbaine et territoriale, la ville intelligente, puis la ville durable ont montré sinon les limites, du moins les lacunes, de leurs modèles respectifs. »
A relire sur ce lien.
En effet, lorsqu’on aborde l’avenir des villes et l’amélioration des quartiers, on entend souvent les termes « mégadonnées » et « intelligent », ces expressions à la mode censées évoquer l’avenir. Or, le récent retrait, le 7 mai dernier, de Sidewalk Labs, filiale de Google, des efforts de développement du secteur riverain de Toronto, au Canada, devrait nous faire réfléchir à deux fois quant à la viabilité de telles tentatives technologiques d’établir une ville intelligente.
A lire ici, l’article de La Presse de Montréal
Pourquoi la filiale de Google a-t-elle renoncé à son projet d’urbanisme « le plus intelligent du monde » ? Cette décision peut apparaître anecdotique dans le contexte mondial actuel de catastrophe sanitaire, économique et sociale, en pleine pandémie. Nous pensons cependant qu’il s’agit d’une alerte importante sur l’utilisation des données massives, à retenir et prendre en compte pour « l’après Covid-19 ».
Suite de l’article des Echos ici.