Par Brice Couturier
En cette période où de nombreuses évolutions refaçonnent le « vivre ensemble », l’urbanisme n’est pas exclu des réflexions collectives. Bien au contraire, plusieurs chercheurs, géographes, urbanistes estiment que la « désurbanisation » est un mouvement de fond qui est enclenché sur tous les territoires urbanisés.
Dans l’ouvrage de Guillaume Faburel, professeur en géographie, urbanisme et science politique à l’université Lyon 2 et à l’Institut d’études politiques de Lyon, « Les Métropoles barbares : Démondialiser la ville, désurbaniser la terre » ou dans le récent article de Joel Kotkin, directeur de recherches sur l’avenir urbain à l’université Chapman en Californie et directeur exécutif de l’Institut de réforme urbaine, basé à Houston, au Texas, est décrite la dynamique de la métropolisation du monde, facteur multipliant les risques pandémiques. Au-delà, c’est toute une « contre-culture » citadine et, partant, une nouvelle culture urbaine qui se construit au quotidien.
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