Le deuxième atelier de travail sur la dimension méditerranéenne de la plate-forme de l’innovation urbaine s’est tenu le 18 décembre dernier. Elle a réuni des aménageurs, des entreprises innovantes et des clusters/réseaux qui font de l’innovation leur démarche première.
Rappelons que l’objectif principal de cette « section » de la plate-forme de l’innovation, démarche lancée par Le Ministère français de la Transition écologique et le Cerema, en collaboration avec Cap Digital, pôle de compétitivité de la transition digitale et de l’innovation urbaine, consiste à ouvrir cette plateforme nationale aux acteurs du pourtour méditerranéen à travers notamment le Réseau des Aménageurs.
L’objectif de ce second atelier visait à préciser sous quelles formes et à quelles conditions, cette plateforme d’innovation française pourrait inclure une dimension internationale, et plus précisément méditerranéenne. Quels services elle pourrait apporter, quelles dynamiques partenariales méditerranéennes elle pourrait soutenir.
Selon la DGALN, cette plateforme devrait prendre une dimension numérique mais pas seulement : l’autre dimension de l’animation de réseaux et d’accompagnement des acteurs semble déterminante : animation d’ateliers, de formations….
La dimension méditerranéenne n’est pas neutre car elle fait référence à des histoires urbaines communes entre les pays du pourtour méditerranéen et notamment entre la France et les pays du Maghreb et des défis communs urgents comme la lutte contre le changement climatique, la transition écologique ou encore des enjeux sociaux de pauvreté et de migrations.
Dans ce second atelier sont présents des maitres d’ouvrage et des innovateurs. Des territoires ont été particulièrement sollicités, comme territoires pilotes, tels que le Grand Casablanca ou le Grand Tunis.
Pour lire le compte-rendu intégral des travaux, c’est par ici