Les villes, de plus en plus peuplées, doivent s’adapter aux moyens de déplacements de chacun.
La ville se dessine par ses flux de mobilité. Avec la multitude des moyens de transports qui se développent, elle doit redéfinir le partage de l’espace public pour trouver un équilibre entre la fluidité du trafic et la sérénité des déplacements, le confort et la sécurité de chez chacun de ses habitants, actifs et touristes.
La mobilité est devenu un enjeu majeur de la politique de la ville. Depuis les années 2000 et l’apparition du smartphone la mobilité vit une révolution inattendue que doivent gérer les municipalités.
Comme la voiture s’est imposée tout au long du XXe siècle, la ville s’est organisée autour d’elle. On a donc créé de grandes artères, voire des autoroutes urbaines en négligeant parfois le piéton. La tendance s’inverse aujourd’hui. Car au nom de la lutte contre le réchauffement climatique et la pollution croissante dans les villes, la tendance générale est à la réduction de la place de la voiture individuelle au profit des mobilités douces et partagées. Les axes de mobilité se transforment et se répartissent entre piétons, vélos, transports en commun…
A lire, l’article de Pascal Auzannet du 17 janvier dernier, soit AVANT la crise que nous traversons… C’est ici