« À l’heure où les villes sont de plus en plus peuplées, où l’on estime que près de 70 % de la population mondiale sera citadine en 2050, il est vital, et l’expérience actuelle nous le prouve, que les villes se dotent d’outils leur permettant de mieux réagir en situation extrême.
Chaque année, les catastrophes naturelles génèrent environ 250 milliards de dollars de pertes, selon les Nations unies.
Les villes ont un rôle à jouer en proposant des infrastructures physiques et sociales qui permettant de passer le cap. En France, deux tiers des communes métropolitaines sont concernées par un ou plusieurs risques naturels.
Les inondations de juin 2016 ont affiché des pertes humaines et des coûts financiers de l’ordre de 1 à 1,5 milliard d’euros. Un score loin de celui qui nous attend cette année, du fait de l’épidémie Covid-19, sans même parler de l’incommensurable bilan humain. Dans ces tragédies, les villes ont un rôle à jouer en proposant des infrastructures physiques et sociales qui permettent aux habitants, mais aussi aux organisations, entreprises, associations… de passer le cap. »
Nous ouvrons notre tribune aujourd’hui à Marjolaine Koch, journaliste à la lettre du cadre.fr.
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