Fortement mobilisé pour pallier aux différentes pénuries de matériel pendant le confinement, le mouvement des makers s’immisce dans les débats sur l’après Covid-19. De la relocalisation de la production en ville, à la lutte contre la consommation de masse, et si les makers annonçaient le retour en force des petits sites de production en ville ?
C’est une des bonnes surprises liées à l’épidémie, le mouvement makers se porte bien et gagne en reconnaissance. Il bénéficie d’un engouement qui ne cesse d’augmenter depuis une quinzaine d’années : les fablabs, makerspaces et hackerspaces se multiplient à travers le monde, leur fréquentation augmente et des industriels s’en inspirent pour booster leur innovation.
Pour rappel, le terme de makers regroupe plusieurs familles d’ateliers de fabrication où règnent le partage, la bidouille et l’expérimentation.
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