Durant la crise sanitaire, plusieurs catégories défavorisées d’habitants ont fortement souffert de conditions de logement indignes, qui ont accéléré les contaminations. Celles-ci se sont ajoutées à leurs moins bonnes conditions de santé et à la présence de nombreux travailleurs de première ligne (soignantes, caissières, éboueurs…).
La crise sanitaire vient aujourd’hui confirmer la pertinence d’une meilleure résilience régionale, portant notamment sur le logement des personnes démunies. Une solution peut passer par un nouvel urbanisme ébauché selon la théorie des “communs”. Le concept de communs met en avant la gestion raisonnée de ressources limitées, ici le foncier et l’immobilier, dans un but de partage, de pérennisation de la ressource et d’optimisation, notamment dans le temps, de leur occupation.
Pour lire l’article de Cécile Duguet, urbaniste à l’Institut Paris Région.fr, c’est ici
De ce fait, la notion de « communs urbains » pourrait-elle être considérée comme une doctrine pour repenser l’aménagement territorial ?
A voir également la note de Cécile Duguet sur les communs urbains.